Mercredi 23 février 2022, 18h30 – Salle 300
Séance de courts métrages en partenariat avec la
Fondation pour la mémoire de l’esclavage
d’Azim Moollan
Île Maurice exp. vostf 2015 coul. 5min (vidéo num.)
Comme un moment suspendu aux souvenirs funambules de Mélissa…
Azim Moollan
Azim Moollan s’est d’abord lancé dans la comptabilité avant de jeter l’éponge pour se consacrer entièrement à sa passion pour l’audiovisuel.
« Rod zegwi dan pikan » est un court-métrage qui continue à faire le tour des festivals depuis sa création, en 2015. Son réalisateur, Azim Moollan, est un jeune passionné qui poursuit, lui aussi, son aventure dans le 7e art. Il se penche, d’ailleurs, sur son second scénario…
À 31 ans, Azim Moollan a trouvé sa voie. Après une première expérience dans la pharmacologie, le jeune homme est aujourd’hui réalisateur de courts-métrages. Changement drastique dans la vie de celui qui s’est toujours laissé inspirer par ses envies. Il tentera même de devenir expert-comptable, mais jettera rapidement l’éponge pour se consacrer à sa passion pour l’audiovisuel. Tout petit déjà, il s’amusait à faire des vidéos en VHS avec l’appareil de son père. Aujourd’hui, ce passe-temps est devenu son gagne-pain, s’étant spécialisé dans la production de publicités. Le parcours d’Azim a été une succession d’aventures. Il a passé son enfance à Maurice jusqu’à ses 17 ans. Il s’est ensuite envolé pour le pays de Galles. Il y fera ses études avant de revenir au bercail, en 2008, pour faire de la comptabilité. « L’envie a été de très courte durée. Un an plus tard, j’ai tout arrêté et je suis reparti en Angleterre », raconte-t-il. En 2009, il tente une nouvelle expérience en participant à un atelier sur l’animation et la documentation à Londres.
Ce film s’inscrit dans une séance de courts métrages comprenant :
L’évangile du cochon créole
Brulé Neige
Fouyé Zetwal
Blaké
Présentée par Dominique Taffin (Directrice de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage) et les cinéastes Wally Fall (Fouyé Zetwal), Mathieu Glissant (Brûlé neige), Michelange Quay (L’évangile du cochon créole).